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Qu’est‑ce que le Crédit d’impôt ?
Un crédit d’impôt est une aide fiscale qui s’impute sur l’impôt sur le revenu. Concrètement, il vient en déduction de l’impôt dû. S’il est supérieur au montant de l’impôt, l’excédent est directement payé par l’État au contribuable.
C’est ce qui le distingue d’une simple réduction d’impôt, qui ne fait qu’abaisser le montant à payer sans jamais donner lieu à paiement. Le crédit d’impôt bénéficie donc à tous les ménages, y compris ceux non imposables.
Le crédit d’impôt a été largement utilisé en France pour encourager la rénovation énergétique et l’installation d’équipements à énergie renouvelable. Il a notamment pris la forme du crédit d’impôt développement durable (CIDD), instauré en 2005, et du crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE), qui lui a succédé en 2014. Ces dispositifs visaient à alléger le coût des travaux en faveur de la performance énergétique des logements.
Crédit d’impôt pour panneaux solaires : ce qu’il faut savoir en 2025
Retour historique : CIDD (2005–2013) et CITE (2014–2020)
Le CIDD offrait un crédit d’impôt particulièrement attractif pour l’installation de panneaux solaires : entre 2005 et 2009, le taux était de 40 % à 50 % du coût total TTC de l’installation. Ce soutien a fortement contribué à l’essor du solaire chez les particuliers. Par la suite, le taux a été progressivement réduit à 25 %, puis à 11 % en 2012–2013.
En 2014, le dispositif a été remplacé par le Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Celui-ci a recentré l’aide sur les travaux d’isolation, de chauffage et sur les panneaux solaires thermiques. Les panneaux photovoltaïques, produisant uniquement de l’électricité, ont été exclus du CITE, en raison de la baisse rapide du prix du matériel et de la volonté de cibler en priorité les équipements réduisant les besoins en chauffage.
Depuis 2020, le CITE a été absorbé par MaPrimeRénov’, une subvention qui favorise les ménages modestes et qui vise à simplifier les démarches. Les systèmes solaires thermiques ou hybrides restent éligibles à cette prime, mais les panneaux photovoltaïques ne donnent plus droit à aucun crédit d’impôt.
Situation en 2025 : plus de crédit d’impôt pour les panneaux photovoltaïques et le solaire en général
En 2025, il faut être clair : aucun crédit d’impôt n’est accordé pour l’installation de panneaux solaires. Le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) a disparu fin 2020 et a été remplacé par MaPrimeRénov’, qui est une prime directe et non plus un avantage fiscal.
Les panneaux photovoltaïques, qui produisent de l’électricité, sont exclus de ce dispositif depuis 2014. Les panneaux solaires thermiques (chauffe-eau solaires, systèmes solaires combinés) restent éligibles à MaPrimeRénov’.
Cette confusion entretient parfois des pratiques commerciales trompeuses. Certaines entreprises peu scrupuleuses annoncent encore un « crédit d’impôt pour panneaux solaires », mais il s’agit d’une promesse mensongère. Aujourd’hui, seules la prime à l’autoconsommation, la TVA réduite et certaines aides locales constituent des soutiens financiers pour un projet photovoltaïque.
Tableau de synthèse des dispositifs en 2025
Ce tableau résume la situation : pour les panneaux photovoltaïques, les seules aides nationales sont la prime à l’autoconsommation et la TVA réduite. L’éco‑PTZ reste réservé aux systèmes thermiques ou hybrides.
Prime à l’autoconsommation : l’aide principale encore valable en 2025
Face à la disparition du crédit d’impôt pour les panneaux photovoltaïques, la prime à l’autoconsommation est devenue l’aide phare. Elle récompense les propriétaires qui choisissent de consommer eux-mêmes une partie de l’électricité produite et de vendre le surplus au réseau.
Montant selon la puissance (barème T3 2025)
La Commission de régulation de l’énergie actualise chaque trimestre le barème de la prime. Il s’agit d’une prime unique, calculée une seule fois en fonction de la puissance installée (€/kWc), puis versée par EDF OA environ un an après la mise en service.
Pour le troisième trimestre 2025, les montants sont les suivants :
Le montant de la prime est fixé à la date de dépôt de votre demande de raccordement. Elle est versée par EDF OA environ un an après la mise en service pour les puissances inférieures à 9kWc, mais certains réseaux ou entreprises proposent d’en avancer la totalité. Cette aide est accessible sans condition de ressources et ne dépend pas de la situation fiscale du demandeur.
Conditions d’éligibilité et fonctionnement
Pour percevoir la prime à l’autoconsommation, vous devez :
- Choisir l’autoconsommation avec vente du surplus. Vous utilisez en priorité l’électricité produite par vos panneaux et injectez le reste sur le réseau.
- Installer des panneaux d’une puissance ≤ 100 kWc. Au-delà, le régime d’achat en totalité s’applique.
- Faire appel à une entreprise certifiée RGE. Cette qualification garantit la conformité de l’installation et conditionne l’obtention de la prime et de la TVA réduite.
- Signer un contrat d’obligation d’achat avec EDF OA pour la partie revendue.
La prime est cumulable avec la vente du surplus et la TVA à taux réduit, mais elle ne couvre qu’une faible partie du coût. Même pour les installations ≤ 9 kWc, où la prime est la plus intéressante, elle ne représente qu’un faible pourcentage de l’investissement total. Il est donc nécessaire de prévoir un financement complémentaire.
Une aide utile… mais loin de couvrir un projet complet
Certains installateurs laissent entendre que la prime à l’autoconsommation permet de financer votre installation. La réalité est différente : pour un projet de 3 kWc coûtant 8 500 €, la prime de 240 € ne compense qu’une fraction de la dépense. De plus, elle est versée au bout d’un an, ce qui implique d’avancer l’intégralité du coût.
💡 Bon à savoir : ECAIR propose une solution qui prend en compte la prime dès le départ. La simulation gratuite estime votre reste à charge après déduction des aides, et la proposition de financement le couvre intégralement. Vous bénéficiez ainsi d’un véritable coup de pouce financier en plus de la prime à l’autoconsommation.
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Revente du surplus : comment ça fonctionne ?
En autoconsommation, l’électricité non consommée est injectée sur le réseau et vendue à EDF OA. Ce dispositif, encadré par l’obligation d’achat, garantit un tarif fixe pendant 20 ans. Pour le troisième trimestre 2025, le tarif d’achat du surplus est d’environ 0,04 €/kWh. Cela signifie que, pour 1 000 kWh revendus, vous percevrez environ 40 €.
Contrat et conditions
- Durée du contrat : 20 ans, avec un tarif révisé chaque trimestre pour les nouvelles installations. Le tarif de votre contrat reste fixe pendant toute la durée.
- Exonération d’impôt : les revenus de la vente de surplus sont exonérés d’impôt sur le revenu si l’installation a une puissance ≤ 3 kWc, est raccordée en deux points de livraison maximum et n’est pas destinée à une activité professionnelle. Au-delà de 3 kWc, ils deviennent imposables.
- Revente en totalité : vous pouvez choisir de vendre toute la production plutôt que le surplus (installations > à 9 kWc et ≤ 36 kWc). Le tarif est alors plus élevé (environ 13 c€/kWh au T3 2025), mais vous renoncez à la prime à l’autoconsommation et vous n’alimentez plus directement vos appareils.
Revenus : un complément, pas un financement
La vente du surplus génère des revenus réguliers, mais ils restent modestes pour un particulier. Une installation de 3 kWc produit environ 3 000 kWh par an, dont 30 % revendus (900 kWh). Au tarif de 0,04 €/kWh, cela représente 36 € par an. Loin de financer l’installation, ces recettes sont un bonus qui contribue à améliorer la rentabilité.
👉 À retenir : même cumulées sur 20 ans, la prime à l’autoconsommation et la vente du surplus ne couvrent qu’une petite partie du coût initial. Pour passer au solaire, un financement est indispensable. La solution ECAIR permet de transformer ces revenus en avantages immédiats grâce à un crédit adapté.
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TVA réduite pour les installations solaires
En France, les travaux d’amélioration énergétique peuvent bénéficier d’un taux de TVA réduit. Pour les panneaux solaires, la réglementation évolue : à partir du 1ᵉʳ octobre 2025, la TVA passe à 5,5 % pour les installations photovoltaïques en autoconsommation d’une puissance ≤ 9 kWc.
Jusqu’à cette date, la TVA est de 10 % pour les installations ≤ 3 kWc et de 20 % au-delà.
Attention : l’application du taux réduit sera encadrée par un décret précisant les conditions techniques d’éligibilité. Toutes les installations ne seront donc pas automatiquement concernées.
Cette baisse rapproche les panneaux photovoltaïques des autres travaux d’efficacité énergétique (isolation, chauffage). Pour en bénéficier, il faudra respecter les conditions suivantes :
- Faire installer les panneaux par un professionnel RGE. Le label RGE reste indispensable pour bénéficier de la prime à l’autoconsommation et de la TVA réduite.
- Choisir l’autoconsommation. Les projets en vente totale ne donnent pas droit à la TVA à 5,5 %.
- Installer des panneaux répondant aux critères requis : bilan carbone des modules inférieur à 530 kg CO₂-équivalent / kWc, quantité d’argent dans les cellules < 14 mg par Wc, teneur de plomb (des modules < 0,1 %, teneur de cadmium des modules < 0,01 %
- L’installation doit être dotée d’un dispositif gestionnaire d’énergie permettant de collecter en temps réel les données de production et de consommation et de piloter le comportement de consommation des équipements électriques afin de maximiser l’autoconsommation.
La TVA réduite offre une économie immédiate, mais elle ne remplace pas un financement. Elle se cumule cependant avec les autres aides et allège le coût total sur la facture.
💡 Bon à savoir : l’outil de simulation ECAIR inclut automatiquement la TVA à taux réduit dans le calcul du coût du projet, de sorte que vous obtenez une estimation fiable du reste à charge. Vous n’avez plus à avancer la trésorerie pour des taxes plus élevées.
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Aides locales : une solution au cas par cas
En complément des dispositifs nationaux, certaines collectivités territoriales (régions, départements, intercommunalités) proposent des subventions pour l’installation de panneaux solaires. Ces aides locales sont très variables en termes de montant, de conditions d’éligibilité et de cumul avec les autres aides. Dans certaines régions, elles peuvent atteindre quelques centaines d’euros, mais elles sont souvent soumises à des critères spécifiques (résidence principale, plafonds de revenus, type de travaux, etc.).
Pour en bénéficier, il est nécessaire de :
- Effectuer une veille locale, en consultant le site de votre région, de votre département ou de votre mairie.
- Déposer un dossier complet avant le début des travaux.
- Vérifier la compatibilité avec la prime à l’autoconsommation, car certaines collectivités n’acceptent pas le cumul.
Ces subventions constituent un bonus appréciable mais ne sont pas systématiques. De plus, leur montant reste limité par rapport au coût total d’un projet solaire.
💡 En pratique : quel que soit votre lieu de résidence, la solution ECAIR s’applique de la même manière. Elle vous permet de financer la totalité de votre installation sans attendre de connaître le résultat d’une subvention locale. Si vous obtenez une aide régionale, elle viendra diminuer le reste à charge ou réduire la durée de remboursement.
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L’éco-prêt à taux zéro : non éligible au photovoltaïque pur
Le Prêt à taux zéro (éco-PTZ) finance des travaux d’amélioration énergétique sans intérêts, avec un remboursement possible jusqu’à 20 ans.
L’éco-PTZ peut atteindre jusqu’à 50 000 € dans le cadre d’une rénovation globale. En revanche, si le financement porte sur une seule action de travaux, le plafond est limité à 15 000 €.
Plafonds en vigueur
- Jusqu’à 15 000 € : un seul geste de travaux.
- Jusqu’à 25 000 € : deux gestes de travaux.
- Jusqu’à 30 000 € : trois gestes ou plus.
- Jusqu’à 50 000 € : rénovation globale (sous réserve de la réalisation d’un audit énergétique démontrant que les travaux permettent un gain d’au moins deux classes sur le DPE).
Cas du solaire
- L’éco-PTZ ne finance pas les panneaux photovoltaïques destinés uniquement à produire de l’électricité (autoconsommation/vente de surplus).
- Il peut en revanche financer des solutions solaires thermiques ou hybrides (ex. chauffe-eau solaire), à condition qu’elles s’inscrivent dans un bouquet de travaux.
Exemple : un chauffe-eau solaire combiné à l’isolation de la toiture peut être éligible ; des panneaux PV seuls ne le sont pas.
Pourquoi c’est important ?
Cette distinction évite une confusion fréquente : contrairement à ce que certains vendeurs laissent entendre, l’éco-PTZ ne finance pas un projet d’autoconsommation photovoltaïque “pur”.
À retenir.
En l’absence de crédit d’impôt et d’éco-PTZ pour le photovoltaïque, le montage financier repose sur :
- la prime à l’autoconsommation (versement en une fois pour ≤ 9 kWc),
- la TVA à 5,5 % (à partir du 1ᵉʳ octobre 2025, sous conditions),
- et, si besoin, un financement dédié. C’est précisément ce que propose ECAIR : un crédit conso 100 % digital, rapide et adapté aux projets solaires, pour lisser le reste à charge sans bloquer la trésorerie.
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Pourquoi les aides ne suffisent pas à financer un projet solaire ?
Les aides publiques sont précieuses, mais elles ne suffisent pas à couvrir le coût total d’une installation photovoltaïque. Plusieurs raisons l’expliquent :
- Montant limité des aides : la prime à l’autoconsommation se limite à 80 €/kWc et la vente du surplus rapporte environ 40 € par an pour 1 000 kWh. Les subventions locales sont ponctuelles et varient selon les collectivités. Au total, ces aides représentent rarement plus de 10 % du budget.
- Délai de versement : la prime est versée un an après l’installation des panneaux, et la revente du surplus génère des recettes sur 20 ans. Vous devez donc avancer la totalité du coût avant de percevoir ces aides.
- Un reste à charge élevé : Même avec la prime à l’autoconsommation et la TVA réduite, une installation solaire reste coûteuse. Pour un projet de 3 kWc, facturé en environ 8 500 € TTC, le reste à charge dépasse souvent 8 000 € après aides.
- Absence de crédit d’impôt : le crédit d’impôt n’existe plus pour le photovoltaïque et l’éco-PTZ n’est pas accessible aux panneaux produisant uniquement de l’électricité. Résultat : la quasi-totalité de l’investissement repose sur le ménage.
Pourtant, le retour sur investissement est bien réel : une installation bien dimensionnée permet de réduire sa facture d’électricité de 30 à 60 %, et les panneaux ont une durée de vie de plus de 25 ans. La vraie question n’est donc pas la rentabilité, mais le financement initial.
👉 C’est là qu’intervient ECAIR : grâce à un crédit travaux pensé pour la rénovation énergétique, vous pouvez financer immédiatement votre installation, sans mobiliser votre trésorerie. Simulation en 2 minutes, offre ferme sous 48 h, paiement rapide de l’artisan : ECAIR transforme le frein du reste à charge en un levier pour concrétiser votre projet.
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Le crédit travaux : la vraie solution pour passer au solaire en 2025
Le crédit travaux est un prêt personnel destiné à financer des travaux d’amélioration de l’habitat. Il peut s’appliquer à un projet solaire photovoltaïque, contrairement à l’éco‑PTZ. Voici pourquoi il constitue la meilleure solution pour passer au solaire en 2025 :
- Financement de 100 % du projet : vous empruntez la totalité du coût (fourniture, pose, démarches administratives).
- Pas de mobilisation directe de l’épargne : le capital est versé directement à l’installateur, évitant de puiser dans votre épargne.
- Mensualités adaptées à votre budget : la durée de remboursement peut varier de 12 à 180 mois, et il est possible de moduler vos remboursements pour qu’ils soient compensés en partie ou en totalité par les économies d’électricité.
- Rentabilité immédiate : en autoconsommation, vous réduisez vos factures d’électricité dès la mise en service. Une partie des économies mensuelles sert à rembourser le crédit, ce qui accélère le retour sur investissement.
- Propriété au terme du remboursement : à la fin du crédit (souvent 10 à 15 ans), vous êtes pleinement propriétaire de votre installation, qui continue de produire pendant encore 10 à 15 ans.
Astuce : avant de souscrire un crédit travaux classique, comparez les solutions. Certains établissements exigent un apport ou appliquent un taux élevé. Les offres dédiées au financement de la rénovation énergétique, comme celle proposée par ECAIR, se distinguent par leur simplicité et leur coût compétitif.
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Financer votre installation solaire avec ECAIR
Une solution dédiée aux artisans, pour faciliter votre accès au solaire
ECAIR est une solution de financement clé en main proposée via les artisans partenaires. L’objectif est de lever tous les freins financiers liés à l’installation de panneaux solaires. En choisissant un installateur partenaire ECAIR, vous bénéficiez d’un parcours digitalisé et transparent.
La solution ECAIR en 4 points
- Simulation en 2 minutes : un outil en ligne vous permet de renseigner votre projet (surface, puissance souhaitée, budget) et d’obtenir une estimation immédiate des coûts, des économies et du montant à financer.
- Offre ferme sous 48 h : une fois la simulation validée, vous recevez une proposition de financement claire dans les 24 à 48 heures. Cette offre prend en compte les aides (prime à l’autoconsommation, TVA réduite, subventions locales) pour déterminer le reste à charge.
- Paiement à l’artisan 5 jours après le chantier : ECAIR règle l’installateur cinq jours après la réception des travaux et des documents justificatifs, garantissant une trésorerie saine pour le professionnel et un démarrage rapide de votre projet.
- Crédit sans agrément bancaire : contrairement à une solution bancaire classique, l’artisan n’a pas besoin de rentrer dans un parcours d’agrément bancaire long et complexe pour proposer le financement ECAIR. ECAIR travaille avec des partenaires financiers spécialisés et propose un taux compétitif adapté à la rénovation énergétique.
Cette solution se distingue par sa rapidité et sa simplicité : pas de papier inutile, pas de rendez-vous en agence, tout se fait en ligne ou avec votre artisan. Vous profitez ainsi d’un financement sécurisé qui s’imbrique parfaitement avec les aides publiques.
Passez au solaire sans attendre
Les blocages administratifs ou les refus bancaires ne doivent pas vous empêcher de concrétiser votre projet. Avec ECAIR :
- Vous ne mobilisez pas votre trésorerie : le crédit couvre la totalité du reste à charge.
- Votre artisan est payé rapidement, ce qui le motive à démarrer le chantier dès l’acceptation de l’offre.
- Vous pouvez cumuler toutes les aides (prime, TVA réduite, subventions locales) avec le financement ECAIR.
- Vous bénéficiez d’un taux compétitif et d’un accompagnement personnalisé pour dimensionner votre projet.
👉 Passez au solaire sans attendre : testez votre simulation ECAIR dès maintenant.
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Choisir un installateur certifié RGE : une condition indispensable
Pour bénéficier de la prime à l’autoconsommation, de la TVA réduite et des aides MaPrimeRénov’, il est indispensable de confier l’installation à un professionnel Reconnu garant de l’environnement (RGE). Ce label atteste de la compétence de l’entreprise et de son respect des normes de qualité. Avant de signer un devis :
- Vérifiez que l’artisan possède la qualification RGE pour l’activité « Panneaux photovoltaïques ».
- Demandez plusieurs devis pour comparer les offres et les prestations (matériel, garanties, maintenance).
- Consultez les avis clients et les références.
- Assurez-vous de l’existence d’une garantie décennale, qui couvre les dommages liés à l’installation pendant 10 ans.
Prévention arnaques
- Méfiez-vous des promesses de crédit d’impôt pour les panneaux photovoltaïques : cet avantage n’existe plus pour les installations produisant uniquement de l’électricité.
- Attention aux offres trop alléchantes : des prix très bas peuvent cacher des matériaux de mauvaise qualité ou une absence de garantie.
Ne signez pas dans la précipitation : prenez le temps de lire les conditions de vente, de vérifier les clauses de financement et de comparer les options.
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