Quelles sont les principales aides à la rénovation énergétique ?
En 2025, plusieurs dispositifs d’aides publiques permettent de soutenir les projets de rénovation énergétique.
Le principe : encourager les travaux qui améliorent la performance énergétique des logements.
MaPrimeRénov’
Aide de l’Anah qui vise à financer les travaux de rénovation pour améliorer la performance énergétique des logements. Elle est attribuée sous conditions de ressources et en fonction du gain énergétique obtenu.
L’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ)
Le dispositif permet d’emprunter jusqu’à 50 000 € sans intérêt pour réaliser des travaux d’économies d’énergie. Il est accordé par les banques partenaires, mais demande souvent un montage administratif rigoureux.
Les certificats d’économies d’énergie (CEE)
Primes versées par les fournisseurs d’énergie pour encourager la rénovation énergétique. Leur montant varie selon les travaux, la localisation et le profil du ménage.
Les subventions locales
Elles peuvent prendre la forme d’aides complémentaires, attribuées par les régions, départements ou communes. Elles sont très variables et parfois cumulables avec d’autres dispositifs.
👉 Mais attention : ces aides ne couvrent pas tous les types de travaux.
Ces aides visent surtout des gestes dits « passifs » : isolation, chauffage, ventilation. Elles sont souvent soumises à des conditions strictes : niveau de ressources, ancienneté du logement, entreprise RGE…
⚠️ Les panneaux photovoltaïques sont souvent exclus ou faiblement soutenus. Et en 2025, les critères sont plus exigeants que jamais.
Pourquoi les aides à la rénovation excluent souvent le photovoltaïque ?
Quand on parle d’aides à la rénovation énergétique, on pense immédiatement à MaPrimeRénov’, aux certificats CEE ou à l’éco-PTZ. Ces dispositifs ont un point commun : ils ont été conçus pour soutenir en priorité les travaux qui diminuent directement la consommation d’énergie. Isolation, chauffage performant, ventilation… voilà ce qui coche les bonnes cases dans les dossiers.
Le photovoltaïque, lui, produit de l’énergie. Il ne réduit pas la facture par sobriété, mais par autonomie. Et c’est là que le bât blesse : dans les grilles d’évaluation actuelles, produire son électricité reste moins “valorisé” que consommer moins.
Un projet solaire seul ? Rarement jugé prioritaire
Prenons un exemple : un projet d’installation de panneaux solaires sur une toiture récente, pour produire de l’électricité et autoconsommer une partie. Même si le matériel est performant, l’entreprise qualifiée et le site bien exposé, le projet risque d’être considéré comme “hors cadre”, simplement parce qu’il ne s’inscrit pas dans une logique de rénovation thermique globale.
Des critères techniques et budgétaires contraignants
Les exigences sont aussi de plus en plus serrées :
- Justifier d’un gain énergétique quantifiable ;
- Intervenir sur un bâtiment de plus de 15 ans ;
- Respecter un cadre très normé (notamment sur la cohérence des lots) ;
- Obtenir un audit énergétique ou un accompagnement spécifique dans certains cas.
Résultat : de nombreux projets solaires restent sans soutien, alors qu’ils sont viables, rentables, et alignés avec les objectifs de transition énergétique.
La réalité du terrain
Aujourd’hui, il n’est pas rare de voir des porteurs de projet se heurter à des refus de dossiers ou à des aides très inférieures à ce qu’ils espéraient. Cela concerne tout autant les particuliers que les porteurs de projets collectifs ou les entreprises souhaitant équiper un bâtiment.
La solution ? Rechercher des dispositifs plus adaptés à la nature spécifique du photovoltaïque : prime à l’autoconsommation, TVA réduite, financement souple et rapide… voire une combinaison de ces leviers pour éviter que le projet ne reste à l’état de devis.
Pour y faire face, il faut donc des alternatives concrètes et adaptées.
Quelles alternatives pour financer vos panneaux solaires en 2025 ?
Quand les aides classiques ne suffisent pas, il existe des solutions efficaces pour avancer. Voici les principales.
Prime à l’autoconsommation
Cette prime est versée par EDF OA aux installations en autoconsommation avec vente de surplus. Son montant dépend de la puissance (ex : 240 € pour 3 kWc). Mais elle est versée en 5 fois sur 5 ans, avec un simple acompte au démarrage.
👉 Ce n’est donc pas une aide mobilisable immédiatement. Il faut anticiper un financement ou un apport.
TVA réduite à 5,5 % dès octobre 2025
Bonne nouvelle : à partir d’octobre 2025, une TVA réduite s’applique aux installations ≤ 9 kWc, posées sur un bâtiment achevé depuis plus de 2 ans, en autoconsommation avec vente de surplus.
➡️ Jusqu’à cette date, ces projets bénéficient d’un taux réduit déjà avantageux de 10 %.
✅ Un allégement immédiat sur le devis, sans formalité supplémentaire.
👉 Cette baisse progressive permet d’accélérer le retour sur investissement, en particulier pour les projets résidentiels.
Crédit
Le prêt personnel est une option classique, mais il nécessite un passage en banque. Cela peut freiner certains clients, du fait des délais et des complexités administratives inhérents à cette démarche.
Le crédit affecté, proposé par certaines entreprises qui disposent de partenaires financiers, est une solution efficace car elle permet de proposer un crédit adapté au projet dès l’émission du devis. Le montage du dossier peut également être réalisé par l’entreprise, ce qui facilite grandement les démarches pour le particulier.
Cela nécessite néanmoins d’être mandaté par une banque pour être autorisé à proposer de telles solutions, et les banques ont des critères parfois très restrictifs. En outre, le montage du dossier représente une charge opérationnelle supplémentaire pour l’entreprise.
👉 Avec ECAIR, tout est simplifié : aucun agrément bancaire n’est nécessaire et c’est notre équipe qui monte le dossier et calibre le financement en fonction du projet. L’entreprise de travaux n’a aucune expertise à mobiliser : elle propose simplement la solution à son client, et ECAIR s’occupe du reste.
Il faut donc que l’entreprise témoigne d’une certaine expertise sur le financement pour pouvoir monter ce genre de partenariat avec un établissement de crédit.
⚠️ Tout le monde n’est pas éligible au crédit bancaire ou à l’aise avec cette démarche.
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Leasing solaire
Alternative de plus en plus populaire : vous ne payez pas l’installation, vous la louez. Le contrat prévoit un loyer mensuel sur plusieurs années.
C’est pratique, mais il faut bien lire les conditions : durée, entretien, propriété finale… On ne devient pas toujours propriétaire.
Subventions locales
Certaines collectivités territoriales proposent des aides supplémentaires : primes régionales, forfaits municipaux, etc. Le montant et les critères varient beaucoup.
💡 Astuce : combiner aides locales + solution ECAIR peut suffire à couvrir l’ensemble du projet.
👉 Avec ECAIR, vous réduisez durablement le reste à charge, peu importe votre commune.
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Combien ça coûte vraiment ? Bilan financier sur 20 ans
Pour y voir plus clair, voici une simulation basée sur une installation résidentielle standard de 6 kWc, dimensionnée pour l’autoconsommation. Ce type d’installation est courant chez les foyers qui souhaitent produire une partie de leur électricité tout en valorisant leur bien.
💡 Un exemple concret : avec ECAIR, votre projet est rentable dès le 1er jour

Aujourd’hui, votre facture d’électricité est de 1 500 € par an, soit 125 € par mois.
Avec une installation solaire de 6 kWc, 60 % d’autoconsommation et une batterie virtuelle, votre facture passe à 650 € par an, soit 54 € par mois.
👉 Résultat : 71 € d’économies chaque mois.
Le projet coûte normalement 12 000 € TTC.
Grâce à la TVA réduite (5,5 %) et la prime à l’autoconsommation, le reste à charge descend à 10 070 €.
Vous êtes donc rentable sur 12 ans.
Mais avec le financement ECAIR :
- Vous apportez seulement 1 500 € (ou même rien du tout si vous le souhaitez).
- Vous remboursez 71 € par mois : soit exactement ce que vous économisez sur votre facture.
🎯 Conclusion : votre mensualité est financée par les économies d’énergie. Vous produisez votre électricité. Et vous êtes rentable dès le premier jour.
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Démarches pratiques pour bien financer un projet solaire
Pas besoin d’être expert pour structurer son projet :
- Obtenez un devis RGE dès le départ
- Vérifiez si votre projet est éligible à certaines aides
- Comparez les financements possibles (banque, leasing, ECAIR…)
- Faites une simulation ECAIR pour valider le reste à charge
❌ Les erreurs à éviter :
- Négliger le devis RGE dès la phase de chiffrage
- Lancer les travaux sans solution pour le reste à charge
- Attendre les aides avant de se pencher sur le financement
La solution ECAIR pour financer votre reste à charge, sans agrément bancaire
Une solution pensée pour l’énergie solaire
ECAIR propose un financement fluide et rapide, spécialement conçu pour les travaux de rénovation énergétique. Il ne nécessite aucun agrément bancaire pour l’artisan.
✅ Simulation immédiate
✅ Crédit validé en 48 h
✅ Compatible tous types de travaux
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L’efficacité sur le terrain
Une fois les travaux réalisés, le paiement est déclenché sous 5 jours. Cela sécurise la trésorerie de l’artisan et permet de lancer plus de chantiers, sans dépendre d’un crédit bancaire classique.
💡 Accélérez vos chantiers. Encaissez plus vite.
Prenez les bonnes décisions pour votre projet solaire
Checklist :
☐ Ai-je un devis RGE ?
☐ Ai-je vérifié l’éligibilité aux aides ?
☐ Ai-je comparé les solutions de financement ?
☐ Ai-je testé la solution ECAIR ?
✅ Ne perdez plus de ventes à cause du financement et rejoignez la liste d’attente ECAIR.
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